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19 mars 2011 6 19 /03 /mars /2011 00:13
ACCIDENT-NUCLEAIRE-JAPON2.jpgCe vendredi, le niveau de l'accident nucléaire a lui été relevé de 4 à 5 sur une échelle qui en compte 6. Les experts internationaux estiment que le pire a pour l'instant été évité mais il reste encore à stabiliser la température des réacteurs.
- Le pire a pour l'instant été évité à la centrale de Fukushima mais les risques d'importants rejets radioactifs restent élevés et la situation est loin d'être stabilisée, estiment les experts internationaux une semaine après le séisme et le tsunami dévastateurs qui ont frappé le Japon.

Fusion partielle des coeurs de trois réacteurs, ébullition de deux piscines de stockage de combustible usé, désormais quasiment à l'air libre...

"On n'a pas vécu une semaine pareille depuis 25 ans et la catastrophe de Tchernobyl, même si à l'époque c'était pire", assure William Nuttall, de l'université britannique de Cambridge.

"A l'évidence, la situation reste grave, même s'il n'y a pas eu d'évolution jeudi, et les rejets radioactifs se poursuivent", résume quant à lui le directeur général adjoint de l'Autorité de sûreté nucléaire française (ASN), Olivier Gupta.

Dans le monde entier, loin de l'archipel, scientifiques et chercheurs scrutent heure par heure l'état de la centrale japonaise, s'échangeant des informations parfois "extrêmement imprécises et difficiles à valider" pour tenter d'établir les diagnostics et les scénarios les plus pointus possibles.

"Il y a d'énormes incertitudes en raison de la qualité des informations disponibles. Nous marchons en zone inconnue car on ne peut pas simplement modéliser comment une centrale se comporte dans de telles circonstances", relève Malcolm Grimston, spécialiste britannique de l'énergie nucléaire.

Course contre la montre pour refroidir les installations

"Le refroidissement est extrêmement important, aussi je pense qu'il s'agit d'une course contre la montre", a prévenu le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Yukiya Amano.

Tous les experts insistent sur l'absolue nécessité de ramener très rapidement les réacteurs et les piscines de combustible usé à une température normale, avec une obsession: apporter autant d'eau que possible. Et la première étape est de rétablir l'alimentation électrique afin de remettre en service les stations de pompage.

"Le rétablissement du courant serait un élément positif mais il faut rester prudent. Encore faut-il qu'il reste du matériel en état de fonctionner et qu'il puisse acheminer de l'eau", observe M. Gupta. Il ne s'agit que "d'une première étape sur un long chemin, semé d'embûches, vers la stabilisation de la situation".

"Tout ne sera pas résolu en pressant sur un bouton, il y a toute une série d'opérations à effectuer (...) c'est difficile car ça va très probablement nécessiter des interventions humaines, peut-être d'aller en salle de commande, d'ouvrir des vannes", confirme Philippe Jamet, commissaire de l'ASN et ex-directeur de la sécurité des installations nucléaires à l'AIEA.

Or le niveau de radioactivité élevé sur le site limite le temps de présence des intervenants.

Pas de stabilisation rapide

"Les combustibles nucléaires vont nécessiter d'être refroidis sur une longue durée (...) On pourra parler de stabilisation s'il y a un rétablissement pérenne d'un refroidissement robuste sur l'ensemble des réacteurs et des piscines", juge M. Gupta.

"Et quand on dit +pérenne+, on est en train de parler d'années!", ajoute M. Jamet, évoquant l'accident de Three Mile Island aux Etats-Unis en 1979.

Une fois la centrale stabilisée, que faire ? Les spécialistes jugent la question prématurée mais "il s'agira probablement d'une solution à la Tchernobyl, avec un sarcophage", selon Malcolm Grimston.

Le scénario du pire

"Si ces efforts n'étaient pas suffisants, l'un des scénarios d'aggravation est le dénoyage du combustible (qui n'est alors plus recouvert d'eau, ndlr) et des rejets radioactifs beaucoup plus importants. D'autant plus importants qu'il n'y a pas de confinement autour des piscines de stockage de combustible usé", souligne M. Gupta.

D'après les évaluations de l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), en cas d'aggravation de l'accident, une contamination à Fukushima serait beaucoup plus localisée mais aussi plus forte qu'à Tchernobyl. Dans le pire des cas, le rayon d'évacuation autour de la centrale pourrait être porté à 60 ou 70 km mais la mégalopole de Tokyo (35 millions d'habitants), située à 250 km de là, serait épargnée.

A l'échelle planétaire, les retombées radioactives de l'accident resteraient inférieures à celles provoquées dans les années 50-60 par les essais nucléaires.

Source: France 24

Une vidéo de Seth Koko pour votre réflexion du jour

 

 
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16 mars 2011 3 16 /03 /mars /2011 20:10

ACCIDENT-NUCLEAIRE-JAPON-copie-1.jpgLa situation est toujours critique au Japon près de cinq jours après le séisme et le tsunami qui ont touchés le pays. Le dernier bilan officiel fait état de plus de 4 300 morts, un bilan qui devrait s’alourdir car on est toujours sans nouvelles de dizaine de milliers de personnes. Et l’inquiétude demeure quant à la situation des centrales nucléaires. Notamment la centrale de Fukushima-Daichi qui retient l’attention du monde entier.

Sur le front du nucléaire, jusque là, l'attention se portait surtout sur les réacteurs 1, 2 et 3, sachant que le cœur de ces réacteurs a partiellement fondu et qu'il a fallu procéder à des rejets d'hydrogène dans l'atmosphère pour abaisser la pression dans les bâtiments des réacteurs. C'est ce qui a provoqué des explosions d’hydrogène, et endommagé l'enceinte de confinement des réacteurs 2 et 3, mais on manque de précision à ce sujet. Les explosions qui ont eu lieu mardi ont endommagé la piscine de rétention du réacteur n°2, piscine qui se situe dans l'enceinte de confinement.

Explosion également et incendie au niveau de la piscine d'entreposage du combustible usé proche du réacteur n°4, mais là -c'est une précision d'importance- la piscine se trouve hors de l'enceinte de confinement, d'où la gravité de ce nouvel accident. Un deuxième incendie s'est déclaré ce mercredi au même endroit, qui s'est éteint de lui même. Cependant toutes les tentatives ont échoué pour recouvrir d'eau les barres de combustible, les hélicoptères ont du rebrousser chemin, on parle maintenant de camion citerne et de canon à eau, solution désespérée s'il en est pour tenter d'éviter les rejets radioactifs dans l'atmosphère. Selon certains experts, les 48 heures à venir sont cruciales.

Source: RFI

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26 avril 2010 1 26 /04 /avril /2010 21:19

 

BOINGLes voyageurs vont être ravis. Pour répercuter les 1,5 milliard d'euros de pertes chiffrées par l'ensemble des compagnies aériennes, après la paralysie du trafic aérien, les prix des billets d' vont augmenter de 5,2% cette année. Une hausse moyenne estimée à 21 euros par billet... 

Et un surcoût global d'environ 820 millions d'euros pour les consommateurs, révèle un communiqué du site comparateur de prix Kelkoo et du Center for Economics and Business Research.

 C'est, semble-t-il, loin d'être terminé ! Les perturbations provoquées par le volcan islandais Eyjafjöll pourraient de nouveau faire monter la mise, en cas de nouvelles éruptions...

Le rapport justifie également cette hausse du prix du billet d'avion par la flambée du prix du et plus globalement, par les mauvais chiffres des compagnies européennes.

Le volcan a coûté 260 millions d'euros aux voyagistes et compagnies françaises

Concernant plus précisément les voyagistes et compagnies aériennes françaises, les perturbations de la semaine dernière auront coûté, selon le secrétaire d'Etat au Tourisme , la bagatelle de 260 millions d'euros. Il a par ailleurs indiqué avoir nommé un médiateur pour traiter l'ensemble des réclamations des consommateurs, avec la mise en place prochaine d'un numéro vert pour «apaiser les tensions entre consommateurs et opérateurs».

Et quid des entreprises, touchées elles-aussi par le nuage de cendres, et l'absentéisme à répétition d'employés restés bloqués ? Le secrétaire d'Etat leur a garanti une indemnisation au chômage partiel avec 80 % du smic brut minimum.  Sur d'éventuelles aides directes que la France pourrait octroyer aux sociétés touchées par cette crise, Hervé Novelli a indiqué qu'une décision serait prise au niveau communautaire.

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20 avril 2010 2 20 /04 /avril /2010 12:53

CA8F982.jpgVols annulés : comment se faire rembourser

Alors que la plupart des pays de l'Europe sont contraints de fermer leurs espaces aériens depuis jeudi à cause du passage d'un nuage de cendres provoqué par l'éruption d'un volcan en Islande, les annulations de vol se multiplient. Se pose désormais la question du remboursement pour les voyageurs qui n'ont pas pu embarquer. En règle générale, les passagers peuvent être remboursés ou exiger le placement sur un autre vol. Mais le cas présent est différent car les annulations sont dues à des conditions météorologiques imprévisibles. Comment se faire rembourser si son vol a été annulé en raison du nuage de cendres ? Réponses en images...

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20 avril 2010 2 20 /04 /avril /2010 12:45

island.jpg"L'éruption du volcan en Islande s'est intensifiée et un nouveau nuage de cendres se répand au sud et à l'est en direction de la Grande-Bretagne", ont déclaré les services nationaux du trafic aérien (NATS) qui gèrent l'espace aérien britannique.

Du coup, la compagnie aérienne British Airways a annoncé qu'elle annulait tous ses vols court et moyen-courriers mardi, en raison de nouvelles inquiétudes sur l'intensité du nuage de cendres.

BA a ajouté qu'elle espérait reprendre ses vols long-courriers après 16h00 locales (15h00 GMT), dans l'éventualité d'une réouverture "complète et permanente" de l'espace aérien britannique.

La compagnie à bas coûts easyJet a annulé jusqu'à 16h00 GMT tous ses vols en Europe du Nord, dont le Royaume-Uni, mais les a maintenus dans le sud de l'Europe.

"Les dernières informations en provenance des services météorologiques montrent que la situation empire dans quelques zones", a déclaré le NATS dans un communiqué.

Les aéroports écossais seront bien ouverts à partir de 06H00 GMT mardi, comme annoncé auparavant lundi, mais la situation est incertaine concernant les aéroports d'Irlande du nord.

Une bande d'espace aérien supplémentaire pourrait être ouverte à partir de 12H00 GMT mardi, mais pas dans des régions aussi méridionales que celle où se trouvent les principaux aéroports de Londres.

"La situation devrait vraisemblablement changer au cours de la nuit" de lundi à mardi, selon les autorités aéronautiques.

Les derniers développements montrent que "les conditions sur lesquelles on travaille changent rapidement et d'une façon dynamique", ont déclaré les autorités aéronautiques.

Un comité de crise, Cobra, présidé par le Premier ministre Gordon Brown s'est réuni lundi soir pour analyser les dernières informations concernant le nuage de cendre se dirigeant vers la Grande-Bretagne, a déclaré un porte-parole.

L'espace aérien britannique est fermé depuis jeudi dernier à midi (11H00 GMT) et cette interdiction a été prolongée à plusieurs reprises, laissant en rade des milliers de voyageurs à l'étranger.

La Grande-Bretagne avait été l'un des premiers pays à fermer son espace aérien à la suite de l'éruption du volcan islandais Eyjafjöll.

Gordon Brown a annoncé auparavant dans la journée de lundi l'envoi de navires de guerre pour rapatrier les ressortissants britanniques empêchés de regagner leur île.

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16 avril 2010 5 16 /04 /avril /2010 19:56

14aVIC'est la première estimation «prudente» établie par l'Association internationale du transport aérien après la fermeture des aéroports européens. Mais des analystes estiment qu'il est difficile de chiffrer les pertes des compagnies aériennes.20100415PHOWWW00444

Un nuage à 200 millions de dollars (148 millions d'euros). C'est la facture, par jour, de la paralysie du trafic due au nuage de cendres volcaniques, selon une estimation établie vendredi par l'Association internationale du transport aérien (IATA). Ce montant correspond à «l'impact financier (...) par jour en termes de chiffre d'affaires perdu», a annoncé un porte-parole de IATA, dans un communiqué.

«Aux pertes de revenus s'ajoutent pour les compagnies aériennes les coûts pour modifier les itinéraires de leurs appareils, prendre en charge des passagers et des appareils bloqués dans les différents aéroports», a-t-il ajouté. Il s'agit d'une «première estimation prudente».

Selon de nombreux analystes, la fermeture des aéroports nord européens a un impact difficile à quantifier sur les finances des compagnies aériennes. Les experts estiment que tout dépendra des demandes de remboursement de la part des clients. Plus ces derniers préfèreront reporter leur vol, plus cela limitera les pertes pour le secteur.

«Tant que nous n'avons pas de visibilité sur la durée de ces perturbations, il est difficile de dire quel est le coût pour les compagnies», juge Marina Devitt, de la maison de courtage irlandaise Goodbody interrogée par l'AFP.

 

Une facture de 30 millions pour Air France

 

A la louche, il est possible d'obtenir une estimation, en divisant le chiffre d'affaires annuel d'une compagnie par le nombre de jours durant lesquels les avions restent cloués au sol. Sur cette base grossière, il est possible d'établir que, pour Air France-KLM, le nuage coûterait 30 millions d'euros, et 25 millions pour British Airways, avance un analyste parisien.

En Allemagne, la paralysie totale du trafic devrait peser sur l'ensemble du secteur à hauteur de 50 millions d'euros au total par jour et «moins de 10 millions d'euros par jour» pour Lufthansa, estime l'analyste Per-Ola Hellgren, de la banque LBBW, joint par l'AFP. Une facture moins salée que la récente grève des pilotes qui avait coûté 48 millions d'euros au total.

Enfin, «l'impact ponctuel sur le bénéfice de l'irlandaise Ryanair devrait être faible dans la mesure où la plupart des coûts opérationnels vont être évités, exception faite des locations d'avions et des coûts salariaux», relève la maison de courtage irlandaise NCB.

 

Ruée prévisible

 

Les compagnies devraient néanmoins limiter les dégâts grâce à la ruée prévisible des clients à la fin de l'interdiction de vol. Les avions devraient alors enregistrer des taux de remplissage largement supérieurs à la normale, rentabilisant du même coup beaucoup mieux les vols.

Sans attendre les premiers chiffres, les titres des compagnies aériennes européennes ont brutalement chuté en Bourse ce vendredi. A la clôture, Air France-KLM décrochait de 3,42%, British Airways baissait de 3,13%, Lufthansa de 4,10%.

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15 avril 2010 4 15 /04 /avril /2010 17:47

14202553fa.jpgLes aéroports du nord de la sont fermés depuis 17 heures et ceux de Roissy-, Orly et Le Bourget ainsi que plusieurs aéroports de l'ouest et de l'est du pays le seront au plus tard à 23H00, a annoncé jeudi la Direction générale de l'aviation civile.  la Direction générale de l'aviation civile, grande organisatrice du transport aérien, est en réunion pour prendre les décisions adéquates.

Roissy-Charles de Gaulle pourrait fermer jeudi à 23 heures. Pourquoi une telle décision radicale.island2.jpg

 

Les nuages de cendres peuvent limiter la visibilité et représenter un danger pour les réacteurs des avions, de nombreux vols ont été suspendus.

Les espaces aériens britannique, belges, suédois, danois, norvégien fermés

Les services du contrôle aérien ont décidé jeudi de fermer totalement l'espace aérien britannique au minimum jusqu'à vendredi 7 heures (5 heures GMT). Avec la fermeture de l'aéroport londonien d'Heathrow, le plus important au monde en terme de trafic, les perturbations vont se faire ressentir bien au-delà de l'Europe. «Le nuage de cendres volcaniques s'est maintenant propagé à travers le Royaume-Uni et continue à se déplacer vers le sud», a indiqué le National air traffic service (NATS, contrôle aérien).

L'espace aérien belge sera progressivement fermé jeudi, sa partie ouest à 14h30 puis la totalité à 16h30, jusqu'à ce que le nuage de cendres volcaniques venant d'Islande soit passé. L'espace irlandais est partiellement fermé depuis 12 heures, dont l'aéroport de Dublin. En Suède, il sera progressivement fermé d'ici 21 heures. L'espace danois sera totalement fermé vers 18 heures. L'ensemble du trafic aérien a également été interrompu en Norvège, tout comme dans le nord de la Finlande. Celui du nord-ouest de l'Allemagne sera fortement perturbé à partir de 15 heures.

Le trafic aérien islandais épargné

La fermeture des espaces aériens a par ricochet entraîné des dizaines d'annulations dans les aéroports de par le monde, en particulier à l'aéroport Schiphol d'Amsterdam. Tous les vols au départ de l'aéroport parisien de Roissy à destination de Londres, de l'Ecosse, de Copenhague et d'Oslo sont annulés.

Paradoxalement, en Islande, l'aéroport de Reykjavik restait ouvert, épargné grâce aux vents dominants venant de l'ouest. Selon un expert des services métérologiques britanniques, il est impossible de dire jusqu'où ira le nuage de cendres.

800 personnes évacuées en Islande 

L'incertitude règne aussi concernant l'éruption du volcan situé près du glacier Eyjafjallajokull. Selon Magnus Tumi Gudmunsson, un professeur islandais de géophysique, «on ne peut pas dire combien de temps (l'éruption) va durer. C'est extrêmement variable, cela peut aller de plusieurs jours à plus d'un an. Mais si l'on en juge par l'intensité de celle-ci, cela pourrait durer longtemps».

800 personnes vivant dans cette région reculée et peu peuplée d'Islande, à 125 kilomètres à l'est de Reykjavik, ont été évacuées, un mois après une première éruption. Mais c'est désormais la fonte du glacier qui inquiète les autorités, car elle pourrait entraîner de fortes . «Il y a d'importantes inondations des deux côtés du volcan, la route est bloquée et toute la région est isolée à cause des inondations... On craint qu'un grand pont ne se brise», a indiqué Per Landroe, porte-parole de l'ambassade norvégienne à Reykjavik.

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