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9 septembre 2011 5 09 /09 /septembre /2011 16:46
11-septembre.JPGLe maire de New York a renforcé la sécurité à trois jours de la commémoration des attentats du 11 septembre

Les Etats-Unis ont fait état jeudi d'une menace d'attentat "crédible mais pas confirmée" autour du 10e anniversaire du 11-Septembre.

Selon des responsables qui ont souhaité rester anonymes, cette menace devait prendre la forme d'un attentat à la voiture piégée visant New York ou Washington.

"La police de New York va déployer des ressources additionnelles autour de la ville et prendre d'autres mesures pour assurer la sécurité de notre ville, certaines que vous verrez, et d'autres que vous ne verrez pas", a indiqué le maire de New York, Michael Bloomberg, lors d'une conférence de presse.

Parmi les mesures, le nombre des patrouilles va augmenter de 30%, des contrôles de véhicules seront organisés, les contrôles de sacs seront multipliés dans les transports. La surveillance des ponts, tunnels, monument, bâtiments officiels sera renforcée.

"Comme nous le savons d'après les renseignements obtenus après le raid contre Oussama Ben Laden, Al-Qaïda a montré un intérêt pour les dates importantes et les anniversaires, comme le 11 septembre", a expliqué de son  côté le département à la Sécurité intérieure dans un communiqué.

Pour le dixième anniversaire du 11 septembre 2001, de très nombreuses commémorations sont prévues à New York et dans d'autres villes des Etats-Unis.

Dimanche, Barack Obama se rendra sur les trois sites des attentats, à New York, Washington et Shanksville, en Pennsylvanie.LIRE LA SUITE)))

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20 mai 2011 5 20 /05 /mai /2011 11:18
DSK-arrete-new-york.jpgLe juge a accordé jeudi soir (heure de Paris) la remise en liberté sous caution à Dominique Strauss-Kahn

Le juge l'a assigné à résidence à New Yor, sous surveillance électronique. Il passe une quatrième nuit en prison avant d'être libéré vendredi.

Il a été par ailleurs formellement inculpé jeudi soir de 7 chefs d'accusation par une chambre d'accusation (grand jury), qui a entendu mercredi à huis clos le témoignage de la victime présumée.


Les chefs d 'accusation comprennent notamment  l'"acte sexuel criminel au premier degré", la "tentative de viol au premier  degré", "l'agression sexuelle au premier degré", l'"emprisonnement illégal au second degré" et les attouchements non-consentis.

On se dirige donc vers un procès, si DSK continue à plaider non coupable. Dominique Strauss-Kahn n'a pas encore dit officiellement s'il plaidait ou non coupable, mais dans sa lettre de démission au FMI, il a rejeté toutes les accusations portées contre lui. S'il plaidait coupable, cela lui éviterait  un procès et lui permettrait de négocier une peine avec la justice américaine.

La prochaine audience de DSK devant la justice américaine a été fixée au 6 juin.

L'ancien directeur du FMI, accusé d'agression sexuelle par une employée d'un hôtel de Manhattan, clame son innocence, assurant vouloir "consacrer toutes ses forces" à sa défense. Il a officiellement démissionné jeudi matin de son poste de directeur du FMI.

Caution d'un million de dollars, assignation à résidence et contrôle électronique
Sa libération sous caution est une première victoire des avocats de DSK qui proposaient le versement d'une caution d'un million de dollars. La caution a d'ailleurs été fixée à un million de dollars avec un dépôt de garantie de 5 millions de dollars (par une éventuelle mise en gage de biens), qui seront saisis par la justice en cas de violation des conditions de libération.

Le juge a par ailleurs exigé que DSK, qui sera assigné à résidence dans un appartement new yorkais loué cette semaine par Anne Sinclair, soit placé sous contrôle électronique 24 heures sur 24, avec un bracelet électronique. Il devra aussi avoir constamment à ses côtés un gardien armé (à ses frais) et fera l'objet d'une surveillance vidéo. Il devra également remettre aux autorités américaines tous ses documents de voyage (passeport...).

DSK libre à compter de vendredi
En dépit de cet accord de libération sous caution, Dominique Strauss-Kahn, ne sera pas libéré avant vendredi après-midi de la prison de Rikers Island où il aura passé quatre nuits depuis lundi. Ce n'est en effet qu'après le versement de la caution et la signature de libération par un juge qu'il sera relâché.

Avant de se retirer pour délibérer sur sa remise ou non en liberté,  le juge Michael Obus avait déclaré que "le vrai problème pour cette cour est d'avoir des garanties, et pas seulement financières, pour s'assurer que le défendeur soit présent" aux audiences ultérieures. Il avait souligné que Dominique Strauss-Kahn provient d'un pays, la France, qui n'extrade pas ses ressortissants.

Dominique Strauss-Kahn était arrivé non menotté dans la salle d'audience. Son épouse, Anne Sinclair, était présente à l'audience en compagnie de la fille de DSK. Il a esquissé un sourire dans leur direction en entrant dans la salle et a lancé de la main un baiser à son épouse avant les délibérations. Lire la suite)))

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25 mars 2011 5 25 /03 /mars /2011 15:06

MET SARKOZYLe président français Nicolas Sarkozy s'est dit, vendredi 25 mars, "très préoccupé par la situation en Cote d'Ivoire", où les violences multiplient, et indiqué vouloir demander un renforcement de la force de l'ONU dans le pays (Onuci) en pleine crise depuis l'élection présidentielle et où se mutiplient les craintes d'une nouvelle guerre civile

"Un scandale"

Le président français a considéré comme "un scandale" les tirs à l'arme lourde "contre des populations civiles innocentes", lors d'un point presse en marge d'un sommet européen à Bruxelles.

"Mais il y a une force des Nations unies" sur place, a-t-il souligné. Et l'objectif de la résolution qu'entend proposer la France "sera de demander à cette force des Nations unies d'interdire au moins les armes lourdes dans Abidjan", a précisé Nicolas Sarkozy.
Les dirigeants ouest-africains ont appelé jeudi l'ONU à renforcer le mandat de sa mission en Côte d'Ivoire (Onuci) et à imposer des sanctions "plus contraignantes" à l'encontre du président sortant Laurent Gbagbo.

Une situation délicate

 

A l'issue d'un sommet ordinaire de deux jours à Abuja, les chefs d'Etat et de gouvernement de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao, 15 pays), ont lancé cet appel alors que la crise post-électorale en Côte d'Ivoire s'aggrave et que l'on craint une guerre civile.

L'Onuci, forte de 10.000 hommes, est dans une situation délicate. Sous le feu des critiques des partisans de Gbagbo qui exige son départ immédiat, la désignant comme un "ennemi de la Côte d'Ivoire" et partiale, elle est régulièrement la cible de leurs attaques.
La mission a aussi essuyé récemment de virulentes critiques du camp d'Alassane Ouattara, reconnu président par la communauté internationale, qui l'exhorte à "passer à l'action" et à "user de la force légitime" pour protéger les populations civiles prises dans les violences
.
 

"Une grave inquiétude"

 

De son côté, Valérie Amos, sous-secrétaire générale de l'ONU pour les affaires humanitaires, a exprimé jeudi "une grave inquiétude" sur la situation dans le pays. "L'escalade de la violence et l'utilisation d'armes lourdes, particulièrement dans des zones urbaines, fait monter le bilan (des morts et des blessés) dans la population civile", a-t-elle dit. "Je suis aussi inquiète du harcèlement d'immigrés d'autres parties de l'Afrique de l'Ouest, dont des milliers fuient le pays", a-t-elle ajouté. "J'appelle ceux impliqués dans la violence à respecter les civils", a-t-elle ajouté.

Depuis la présidentielle de novembre 2010, 462 personnes ont été tuées selon l'ONU, dont 52 durant la semaine écoulée. Quelque 500.000 personnes ont été déplacées à l'intérieur du pays et plus de 90.000 ont fui le pays, a souligné Valérie Amos.
La communauté internationale presse depuis des mois et sans succès Laurent Gbagbo de céder la présidence à Alassane OUATTARA, vainqueur des élections présidentielles de Novembre 2010.
 

Le Nouvelobs.com

Une vidéo de Seth Koko pour votre réflexion du jour

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29 mai 2010 6 29 /05 /mai /2010 09:30

De Sydney à Zurich, en passant par Tokyo, les passionnés impatients se sont pressés devant les boutiques d'Apple. A Paris, l'affluence a été moindre.

946280.jpgDes milliers de passionnés impatients ont afflué dans les boutiques d'Apple, vendredi 28 mai au matin, pour s'offrir la très attendue tablette iPad, disponible ce jour en Grande-Bretagne, France, Allemagne, Italie, Espagne, Suisse et au Canada. La tablette tactile d'Apple sera lancée dans neuf pays supplémentaires en juillet.

A mi-chemin entre l'ordinateur portable et le téléphone, l'iPad s'est fait en moins de deux mois sa place sur le terrain de l'électronique grand public. En vente aux Etats-Unis depuis le 3 avril, l'iPad s'y est déjà écoulé à plus d'un million d'exemplaires.

 

"L'iPhone dans la main droite et l'iPad dans la main gauche, tels les samouraïs"

A Sydney, après avoir patienté plus de 24 heures dans la nuit fraîche, Rahul Koduri a été le premier à acheter la tablette tant convoitée. "C'est fantastique, ça valait le coup d'attendre", a déclaré le jeune homme de 22 ans, tandis que les passants, se rendant au travail, se montraient surpris. "C'est de la folie", a témoigné l'un d'eux.

Les impatients étaient également nombreux à Tokyo. "Ce matin, à 8h, nous avons dénombré environ 1.200 personnes devant le magasin", a indiqué à l'AFP une porte-parole d'Apple, Nao Yanagisawa, en faction devant le navire amiral du groupe dans le quartier central de Ginza. "Je suis heureux d'avoir été le premier à l'acheter au Japon", se réjouissait Takechiyo Yamanaka, un féru de technologies de 19 ans qui a campé deux nuits sur une chaise-longue, même s'il avait réservé depuis des jours son exemplaire.

Traqué par les télévisions japonaises, il s'est offert ses minutes de vedettariat en direct. "Désormais, nous allons tenir l'iPhone de la main droite et l'iPad de la main gauche, tels les samouraïs brandissant leurs deux sabres", a plaisanté devant une de ses boutiques le président de Softbank, Masayoshi Son, partenaire d'Apple au Japon.

 

"J'ai attendu depuis 19h la veille et maintenant, je veux d'abord dormir"

Au même moment à Londres, où une quarantaine d'impatients étaient postés au milieu de la nuit devant la boutique Apple, les premiers arrivés affirmaient même s'être vu proposer de céder leur place en échange d'argent. "J'en veux un depuis qu'il est annoncé, je suis simplement tout excité par ce produit", s'est pour sa part exclamé Jake Lee, un jeune homme de 17 ans.

En Suisse, les fans ont attendu toute la nuit. "Je suis là depuis 1h du matin", a indiqué Suong, 22 ans, l'un des premiers dans la longue file d'une soixantaine de mètres qui s'est formée devant le principal magasin Apple de Zurich. Avec de petits yeux trahissant la fatigue, il explique vouloir "surfer, regarder des films et éventuellement remplacer mon notepad" avec le nouvel iPad.

Les 400 personnes amassées devant la boutique sont entrées une à une, filtrées par des gardes de sécurité, pour être accueillis par les applaudissements des vendeurs du magasin. Rob, la cinquantaine, a été le premier à obtenir l'appareil de ses rêves, qui se vendait entre 649 et 1.049 francs suisses (456 à 737 euros). "C'est fantastique", s'est-il exclamé devant les journalistes, en brandissant son iPad fraîchement acquis. "J'ai attendu depuis 19h la veille et maintenant, je veux d'abord dormir", a indiqué Rob, qui se décrit comme un fan de la première heure d'Apple.

 

"Je voulais être parmi les premiers à avoir un iPad en France"

Enfin en France, si 300 fans étaient présents à l'ouverture du magasin parisien d'Apple, seule une dizaine de "geeks" (fondus de nouvelles technologies) avait passé une nuit, fraîche, sur le trottoir près de l'entrée du Carrousel du Louvre.

Selon un scénario bien orchestré et déjà utilisé dans les autres magasins dans le monde, l'entrée était filtrée et les fans entraient par petits groupes, acclamés et applaudis par des vendeurs qui avaient formé une haie d'honneur et criaient "Ohhhhh !" à chaque passage. "C'est un trip. Je voulais être parmi les premiers à avoir un iPad en France. Et venir attendre, ça fait partie du trip", a expliqué à l'AFP Loïs Gérin, un vendeur d'électroménager de 25 ans arrivé spécialement de Marseille en voiture et premier à entrer dans le magasin.

Peu importe le prix (entre 499 et 799 euros, selon les modèles), assure-t-il : "c'est comme acheter une Mercedes plutôt qu'une voiture française à bas prix. Quand tu veux quelque chose de bien, tu investis". Brandissant un premier iPad déjà acheté à San Francisco peu après sa sortie aux Etats-Unis début avril, il avait auparavant fait force démonstrations aux autres fans et journalistes présents.

 

- L'iPad est disponible en France à des tarifs allant de 499 à 699 euros pour les modèles Wi-Fi et de 599 à 799 euros pour les versions 3G (avec abonnement téléphonique).

(Nouvelobs.com)

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29 mars 2010 1 29 /03 /mars /2010 18:12
sarkozy-et-obama.jpgBarack Obama recevra à Washington son homologue français, Nicolas Sarkozy, en visite officielle aux États-Unis. Une rencontre qui intervient après une année de tensions entre les deux hommes. Tour d'horizon de la presse française et internationale.

Le président français, Nicolas Sarkozy, est aux Etats-Unis pour une visite officielle, qui, selon la presse française, aura mis bien du temps à se réaliser. Une "bouderie" de la part de la Maison Blanche ? s’interroge le "Journal du dimanche", qui rappelle qu’"Angela Merkel, Gordon Brown, Silvio Berlusconi, José Luis Zapatero" et même "les Premiers ministres suédois, néerlandais ou grec" ont eu les honneurs d’une invitation à Washington avant le chef de l’Etat français.

Si, aujourd’hui, Washington et Paris se font forts d’insister sur les bonnes relations franco-américaines, cela n’a pas toujours été le cas. L’"insulte ultime", assure Charles Bremner, correspondant du "Times" à Paris, serait intervenue lorsque Barack Obama, venu célébrer les 65 ans du débarquement des Alliés en Normandie, a préféré manger au restaurant plutôt que d’accepter l’invitation à dîner de l’Elysée.

Fâcherie aujourd’hui rattrapée par une grande première depuis l’arrivée d’Obama à la Maison Blanche : le couple présidentiel américain a convié Nicolas et Carla Sarkozy à un dîner privé dans leurs appartements particuliers. Pour le "Christian Times Monitor", qui souligne l’absence de liens personnels du chef de l’Etat américain avec ses homologues internationaux, il s’agirait de faire "amende honorable".

Un "copieux" menu de discussions

Hormis leur bonne entente retrouvée, les deux dirigeants auront nombre de sujets à aborder. "Le menu des discussions promet d'être copieux", analyse "La Tribune". "Gouvernance mondiale, Iran, Afghanistan, taux de change, réchauffement climatique, contentieux commerciaux...", énumère l’article du quotidien économique français.

L’appel d’offres qui oppose Boeing à l’européen EADS fera sans aucun doute partie des discussions. Pour l’agence économique Bloomberg, Sarkozy pourrait demander à Obama d’allonger le temps alloué aux entreprises afin de donner plus de temps à EADS pour se préparer.

Attendu à l’université de Colombia, à New York, où il doit prononcer un discours ce lundi, Nicolas Sarkozy fait surtout pour le moment les manchettes sur Twitter où une internaute diffuse une photo du président français à Times Square…


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