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14 mai 2011 6 14 /05 /mai /2011 20:55

cadres-lmp-copie-1.jpegLe rêve fou des refondateurs ! Malgré la chute de leur mentor Laurent Gbagbo et surtout son assignation en résidence surveillée à Korhogo au Nord du pays, certains de ses proches nourrissent encore le secret espoir de revenir au pouvoir. Il s’agit principalement de ceux qui ont pu s’évanouir dans la nature pour réapparaître au Ghana, principalement à Accra. De jour comme de nuit, ces cadres LMP, tiennent sous la houlette de Kadet Bertin, conseiller chargé des questions militaires du président déchu, des réunions dans les locaux de l’ambassade de Côte d’Ivoire à Accra. Objectif : déstabiliser le régime du président Alassane Ouattara. Kadet Bertin aurait même confié à des proches que lui et ses camarades frontistes ne laisseront jamais travailler le chef de l’Etat. Bien plus, ces refondateurs prétendent avoir même suffisamment d’argent pour créer une rébellion contre les autorités actuelles du pays.

Selon une source concordante, la résistance des miliciens et autres mercenaires à la solde de Laurent Gbagbo à Yopougon, était orchestrée par Kadet Bertin, avec l’aide de quelques éléments des ex-FDS (Forces de Défense et de Sécurité). La randonnée meurtrière de ces chiens de guerre dans le pays profond (Dabou, Grand-Lahou, Fresco, Soubré, San Pedro…), après leur déroute à Yopougon, serait également l’œuvre du sieur Kadet Bertin. L’homme est l’instigateur des tueries perpétrées par ces miliciens et mercenaires libériens, dans cette partie du pays. Pas moins de 120 personnes ont déjà trouvé la mort. Le but étant manifestement d’instaurer la chienlit, histoire de terroriser les populations, et contrarier le retour à la normalité.

D’après une indiscrétion, Kadet Bertin, qui était interné à la Pisam (Polyclinique Sainte-Anne Marie) de Cocody à la suite d’un accident de la circulation fin mars, s’est réfugié dès l’arrestation de Laurent Gbagbo dans une clinique à Marcory. C’est de cette « cachette », qu’il ralliera le Ghana, où il mène des opérations subversives, au nez et à la barbe des autorités ghanéennes. C’est le lieu justement de s’interroger sur le silence, on ne peut plus, coupable de John Atta Mills, chef d’Etat ghanéen, qui semble se rendre complice de ce qui a tout l’air d’un putsch en préparation. Pour un pays aussi démocratique que le Ghana, servir de base arrière à la déstabilisation d’un président démocratiquement élu est vraiment incompréhensible…

Source : Le Patriote

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6 avril 2011 3 06 /04 /avril /2011 20:55

gbagbo koudou4 L’Angola, dont la société d'État Sonangol est actionnaire à 22 % de la Société ivoirienne de raffinage (SIR), n’a donc pas abandonné Laurent Gbagbo, comme on aurait pu le penser. Luanda a d’ailleurs passé avec le président sortant un accord de défense, signé en mars 2009 par le ministre angolais de la Defense, Kundi Paihama. Depuis plusieurs mois, quelque 92 soldats angolais de l'Unidade da Guarda Presidencial (UGP, unité d'élite), sont détachés à la présidence ivoirienne sous le commandement du colonel Vitor Manena.
Et ce sont des instructeurs du président angolais José Eduardo dos Santos qui ont formé aux techniques de guérilla urbaine, à Abidjan et Luanda, la Garde républicaine de Bruno Dogbo Blé et ceux du Groupe de sécurité du Président de la République (GSPR) de Ahouman Brouha Nathanael. Gbagbo est d’ailleurs le seul président qui a mis sur pied un bataillon de la garde républicaine affecté à la résidence présidentielle (Cocody ambassade).
Selon nos informations, les Angolais souhaitaient se servir du Ghana comme base arrière pour d’éventuelles interventions en Côte d’Ivoire. Mais William Ward, le patron d'Africom, s'est rendu à Accra en février dernier pour mettre en garde les autorités ghanéennes contre un tel soutien.

Source : Jeune Afrique

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25 mars 2011 5 25 /03 /mars /2011 15:18

Gbagbo(15)Le jeudi 6 janvier 2011, le gouvernement Gbagbo déclarait ceci: "Il est mis fin" aux accréditations des ambassadeurs britannique Nicholas James Westcott et canadienne Marie-Isabelle Massip..." . Les discours quotidiens de M. Gbagbo sont: Nous ne reconnaissont plus la mission de l'Organisation des Nations Unies et demandons son départ de notre pays; les ambassadeurs occidentaux et leurs chefs d'états sont le mal de la Côte d'Ivoire Etc. Mais comme un roublard et manipulateur public ne change jamais, grande a été notre surprise de voir Le dictateur ivoirien rampé ces derniers jours dans les ambassades occidentaux. "voir l'article de Jeune Afrique ci-après"

Laurent Gbagbo a chargé plusieurs membres de son gouvernement d’approcher les chancelleries occidentales à Abidjan pour évoquer la possibilité d’un dialogue inter-ivoirien. Elles lui ont opposé une fin de non-recevoir.

Depuis la fin de la semaine dernière, Laurent Gbagbo a entrepris d’approcher les diplomates en poste à Abidjan pour réclamer leurs bons offices. Il a mandaté auprès d'eux des membres de son gouvernement, pour faire connaître son intention d’ouvrir au plus vite - avant la fin de la semaine - un dialogue inter-ivoirien avec Alassane Ouattara. L’objectif pour Gbagbo : se montrer enclin à trouver une solution pacifique à la crise postélectorale et sauver la face, au moment où il est lâché par ses derniers soutiens.

Il a ainsi prié Ahou Don Mello, son ministre de l'Équipement et porte-parole du gouvernement, Alcide Djédjé ministre des Affaires étrangères, Désiré Dallo, ministre de l'Économie et des Finances, et Philippe Attey, ministre de l'Industrie, de faire discrètement connaître ses intentions aux conseillers et secrétaires de ambassades de France, d’Italie, d’Espagne et des États-Unis, a-t-on appris de sources diplomatiques... Lire la suite)))

Le titre et l'encadré orange sont du service de communication du site

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17 mars 2011 4 17 /03 /mars /2011 21:38

Pickas.jpgFaut-il croire un traître mot de leur appel à l’apaisement et à la paix ? Blé Goudé Charles et Damana Adia Pickas, c’est d’eux qu’il s’agit, appellent ces temps-ci les populations à la paix. Après avoir semé les germes de la guerre civile, ils exhortent « les jeunes à éviter de poser des actes susceptibles de plonger le pays dans le guerre civile.»
De l’avis de tous les observateurs de la vie politique ivoirienne, des interrogations taraudent les esprits. La volonté subite de paix des deux bras séculiers de Laurent Gbagbo, dans la déflagration du tissu social est-elle sincère ? Si oui, que font-ils pour traduire cela dans les faits sur le terrain ?
A dire vrai, pour beaucoup d’Ivoiriens, Blé Goudé et Damana Pickas, conscient du fait que le vent est en train de tourner en leur défaveur embouchent la trompette de l’apaisement.
En réalité, ils constatent que les Ivoiriens ne veulent pas les suivre dans la guerre civile dont ils ont fait le lit. Mais aussi, les deux va-t-en guerre se rendent compte que, comme leur mentor Laurent Gbagbo, l’étau se resserrant autour d’eux, ils appellent à la paix. Il est d’autant plus surprenant que des gens qui ont armé, appelé au meurtre de certains Ivoiriens par d’autres; instrumentalisé des jeunes pour tuer et piller soient soudainement habités par le bon sens pour appeler à la paix.
Le monde entier connaît Blé Goudé Charles, l’activiste en chef des "jeunes patriotes" et son compère, Damana Pickas comme étant tous comptables de l’aggravation de la crise postélectorale que traverse la Côte d’Ivoire. La preuve, les deux figurent sur la même liste que Laurent Gbagbo et ceux des Ivoiriens passibles de poursuites devant les juridictions nationales et internationales pour avoir porté atteinte aux droits humains.
Sur injonction de celui-là même qui a triché pour obtenir une licence d’Anglais à la Faculté des Lettres, récemment, "les jeunes patriotes" ont érigé des barrages à travers les rues et ruelles d’Abidjan. Le mot d’ordre de Blé Goudé était clair: « Fouillez tous les véhicules, dans le quartier, si vous voyez un individu que vous ne connaissez pas, considérez-le comme un rebelle… ». La suite, on la connait. D’innocentes personnes ont été sommairement exécutées par ces "jeunes patriotes" lourdement armés. Le comble de la barbarie a été atteint, à Yopougon et dans des villages périphériques d’Abidjan où des êtres humains ont été brûlés vifs sous les yeux et les vivats des hommes de Blé Goudé. Outre ces événements, depuis l’arrivée de Laurent Gbagbo au pouvoir, Zadi Gbapè Grégoire, c’était le vrai nom à l’Etat civil de Blé Goudé, a contribué à chauffer à blanc les quelques jeunes illuminés qui le suivent. Sur ses ordres, ils pillent, saccagent les entreprises et domiciles d’honnêtes citoyens. Des entreprises ont délocalisé ou mis la clef sous le paillasson par sa faute. En plus de ces actes, Blé Goudé a attisé la haine de certains Ivoiriens contre d’autres. Il a organisé des battues contre des communautés étrangères vivant en Côte d’Ivoire. L’on se souvient, en son temps, du slogan de l’un de ses hommes de main, Jean- Yves Dibopieu : « A chacun son petit Français.»
Est-ce la sagesse et le bon sens?

Quant à Damana Adia Pickas, il a été propulsé au devant de la scène de la manière la plus exécrable qui soit. Dans les affrontements sanglants de fin février début mars qui ont failli se muer en des affrontements interethniques, toute la Côte d’Ivoire a été informé de la distribution massive d’armes à feu dans les quartiers d’Abidjan. Dans les sous- quartiers "Sicogi", "Sogefiha", "Quartier Adjoukrou" de la Commune de Koumassi, ce sont des cargaisons d’armes à feu de type "Kalachnikovs" que Pickas a livrées aux jeunes LMP. Pour lui, ces jeunes gens désormais dotés d’une puissance de feu, pourront aisément imposer leur diktat à ceux des habitants militants du Rassemblement des Houphouétistes pour la démocratie et la Paix (RHDP). Et les premières rixes entre les habitants de ces sous quartiers ont laissé entrevoir les signes avant- coureurs d’une guerre civile.
Aujourd’hui, par la faute de Blé Goudé et Damana Pickas, des Ivoiriens qui ont toujours vécu en bonne intelligence, se regardent en chiens de faïence. Certaines familles suffisamment armées cohabitent avec d’autres, cependant, aux mains nues. Tout cela rend le climat social plus que délétère.
Outre la dotation d’armes à feu, Damana Pickas est également celui-là qui s’est révélé au monde entier de la manière la plus abjecte. L’image a fait le tour de toutes les chaines de télévision du monde. Elle a aussi inondé la toile. C’est cet individu qui, le 1er décembre 2010, au moment où le porte-parole de la CEI s’apprêtait à proclamer les résultats du second tour de la présidentielle, a arraché, froissé et jeté la feuille desdits résultats. Cela, pour empêcher la CEI de donner les résultats à temps et conforter Yao Paul N’Dré dans sa forfaiture de proclamer Gbagbo vainqueur. Par-dessus tout, si Blé Goudé et Damana Pickas sont sincères et veulent la paix, qu’ils aillent au-delà en désarmant les habitants des quartiers qu’ils ont transformés en de véritables poudrières.
Au moment où Gbagbo, s’entête à confisquer le pouvoir, si Blé Goudé et Pickas sont sûrs de leur appel à la paix, qu’ils donnent un signal fort qui pourrait contaminer "le boucher des Lagunes" afin qu’il quitte le palais qu’il squatte. Alors, on saura si les récentes déclarations de Blé et Damana sont une réelle prise de conscience, un recul ou une feinte.

Source: Le Patriote

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17 mars 2011 4 17 /03 /mars /2011 19:56

 

OBUS.jpgUn obus de mortier s'est abattu sur un marché de la capitale et a fait au moins 12 morts ce jeudi. Selon le camp Ouattara le tir vient de la gendarmerie, tenue par les troupes de Gbagbo.

Un cran a été franchi dans les violences qui ensanglantent Abidjan. A la mi-journée, ce jeudi, un obus de mortier s'est abattu sur un marché du quartier d'Abobo, où des commandos pro-Ouattara défient les soldats de Laurent Gbagbo depuis plusieurs jours. Bilan provisoire: 12 morts. Mais, d'après plusieurs sources locales, les pertes pourraient être bien plus lourdes. Le camp Ouattara affirme que l'obus meurtrier a été tiré depuis l'enceinte de la gendarmerie d'Abobo, tenue par les troupes fidèles au président sortant.

Les incidents meurtriers se multiplient depuis 48 heures dans la capitale économique ivoirienne. Dans la nuit de mercredi à jeudi, des affrontements très violents se sont déroulés à Yopougon, un autre quartier d'Abidjan considéré comme acquis à Gbagbo, mais en réalité divisé. D'après des sources concordantes, un imam a été tué. Une mosquée a été incendiée dans le secteur de Port-Bouet II. Un obus a également explosé dans une cour dans le quartier des Deux-Plateaux, blessant plusieurs personnes, indique un diplomate africain.

Des Casques bleus passifs?

Les "durs" du régime de Gbagbo ont, semble-t-il, décidé de lancer des opérations de ratissage dans plusieurs quartiers d'Abidjan acquis à la cause d'Alassane Ouattara. Les hommes de la Brigade anti-émeute (BAE), appuyés par la garde républicaine, et des mercenaires sont à la manoeuvre.

Le camp Ouattara dénonce l'inaction des Casques bleus, notant que certaines de ces violences ont eu lieu tout près de son QG, dans le quartier d'Attiécoubé, sans provoquer de réaction de la part de la mission de l'Onu. "Son mandat prévoit pourtant la protection des civils, mais il n'est pas appliqué", dit un conseiller d'Alassane Ouattara, le président reconnu par la communauté internationale.

De source bien informée, on indique que le camp Gbagbo dispose de cinq lance-roquettes multiples (type BM21), une arme redoutable qui pourrait causer de nombreuses pertes civiles. "Va-t-on attendre que l'irréparable se produise?", s'indigne un observateur étranger.

Source: Le figaro

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17 mars 2011 4 17 /03 /mars /2011 15:22

Abidjan : pluie d’obus tirés au hasard sur Abobo. Plus d’une dizaine de morts notamment dans une habitation voisine du village d’enfants sos et au petit marché de la gare. Les hôpitaux débordés

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17 mars 2011 4 17 /03 /mars /2011 15:09

mangou.jpgL’offensive des partisans d’Alassane Ouattara progresse et pourrait être décisive.

L’embranchement grouille habituellement de monde. C’est celui qui mène au casse d’Adjame, un bidonville sur les flancs du quartier de Williamsville, le rendez-vous des ferrailleurs d’Abidjan, et des vendeurs à la sauvette. Hier, pas une âme qui vive. Pas de gendarmes, ces forces toujours fidèles au président sortant Laurent Gbagbo, et pas non plus de «commandos invisibles», les forces qui soutiennent son rival Alassane Ouattara, le président élu.

Après les combats de lundi, qui n’ont pas fait bouger la ligne de front, chaque camp se prépare à de nouvelles batailles. Abidjan, la capitale économique de la Côte-d’Ivoire, est devenue zone de guerre. Depuis que le panel de l’Union africaine, réuni la semaine dernière à Addis-Abeba, a décidé de reconfirmer la victoire de Ouattara à la présidentielle, chacun sent que l’heure du dénouement approche. Les partisans d’Alassane Ouattara, qui contrôlent Abobo, le quartier le plus peuplé du nord d’Abidjan (1,5 million d’habitants), et la commune voisine d’Anyama, plus au nord, exercent depuis une semaine une pression militaire accrue sur les forces fidèles à Gbagbo. Les quartiers voisins de Yopougon, Adjame, Plateau Dokui et Cocody ont tous fait l’objet d’incursions des «commandos invisibles», une force, qui selon les experts militaires, compterait entre 400 et 2 000 hommes, parmi lesquels, bien qu’ils le nient, se trouveraient des éléments infiltrés issus des Forces nouvelles, l’ex-rébellion du nord acquise à Ouattara.

La progression de ces commandos n’a rien d’une irrésistible avancée qui les mènerait en trois enjambées à la résidence de Laurent Gbagbo ou à la présidence. «Hier, nous sommes allés jusqu’à la caserne des CRS à Williamsville. Nous leur avons pris un peu d’armement et puis nous sommes revenus», explique le commandant Fognon, un des chefs des commandos invisibles d’Abobo. Ces actions récurrentes exercent une pression dans l’autre camp, de plus en plus nerveux. «S’ils nous poussent vers la guerre, nous ferons la guerre», a dit le général Mangou au quotidien Notre Voie.

Hier quatre jeunes ont été tués dans des circonstances inexpliquées à Abidjan à un check-point tenu par des Jeunes Patriotes, des étudiants qui ont dressé des barrages dans les quartiers pro-Gbagbo à l’appel du ministre de la Jeunesse, Charles Blé Goudé. Le leader des Jeunes Patriotes a promis lundi soir une action décisive. Après avoir joué pendant des mois la montre en comptant sur la lassitude de la communauté internationale qui a reconnu l’élection de Ouattara et la division des chefs d’Etat africains, le camp Gbagbo, qu’on voit mal céder, a peu d’options. Son chef a promis de tenir prochainement un discours à la nation, après s’être entretenu lundi avec ses chefs militaires. «Si Gbagbo avait eu la force de battre les nordistes, il l’aurait fait en 2002», lorsqu’a éclaté la rébellion du nord, alors forte d’à peine 3 000 hommes, explique un expert militaire à Abidjan qui préfère rester anonyme.

Gbagbo, qui dispose d’une vingtaine de milliers d’hommes, ne s’appuierait plus, dit-on, que sur une fraction des forces armées, en premier chef, la garde républicaine (1 500 hommes) et le centre de commandement des opérations de sécurité (Cecos, 2 000 hommes), et 5 000 paramilitaires proches de son parti et des mercenaires recrutés au Liberia. Etranglé par les sanctions économiques, son gouvernement pourrait avoir du mal à les payer dès le mois prochain. Reste alors la fuite en avant et tous ses risques de débordement.

Source: Libération

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